Si nous reprenions le boulot
Je pensais qu'après une semaine de repos je serais plus efficace au boulot. Manque de bol, je me suis couché tard et levé tôt ce matin et je n'avais pas tant la frite que ça. Mais bon moral.
Allez au boulot, c'est comme un rêve pour moi. Quand j'y suis, j'y suis. Quand c'est fini, je passe parfois à autre chose. Une sorte de parenthèse.
Aujourd'hui, les collègues étaient en veine de discussion. J'ai pu donc prendre des nouvelles des uns et des autres, dont certains ne sont pas de bonne humeur. La boîte prend ses employés pour des moins que rien depuis que nous sommes devenus des ressources. Même G est venue causer un brin avec moi. Incroyable !
Jusqu'au parc, j'ai discuté avec des dames qui faisaient leur course du lundi.
Un petit coup de fil de R, juste au moment où je venais de croiser le plus splendide des spécimens de coureur en lycra moulant noir avec des bandes ... noires. On dirait que R les sent de loin. J'en ai oublié de lui demander comment se passaient les suites de vendredi.
Au retour, JL, croisé en bas de l'immeuble, m'a souhaité une bonne année. Quel andouille ! Plus tard, il m'a rejoint dans mon bureau et nous avons donné des nouvelles de nos enfants. Sa fille revient vivre chez ses parents quand elle aura divorcée. Dommage.
Ce fut aussi la reprise du vélo, avec juste une légère douleur au genou droit. C'est pas mal du tout. Je me suis laissé emporter par la montée, mais sans la faire en danseuse. J'ai reposé le vélo dans une station presque vide. Couchée, la bicyclette !
3 commentaires:
T'as vu mon nez!!
Bises, R.
Tout a fait, et d'ailleurs, le fait de le voir (le coureur) m'a fait penser à toi.
M'enfin !
Forcément, un magnifique spécimen...:-))
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