dimanche 17 février 2013

Ça chauffe !!

Je suis malade comme un toutou !
Ce que j'ai senti arriver mardi après-midi c'est confirmé et transformé en tout pectorale douloureuse.
La nuit dernière a été ponctuée de rêves à la con poussés par une forte fièvre. Grrr que je n'aime pas ça.
Je me traîne, j'ai mal, je ne suis pas bien (pire que d'habitude).
Demain, je vais devoir aller chez le médecin pour me faire arrêter si ça ne va pas un peu mieux. Là, je ne tiens pas longtemps debout.

jeudi 14 février 2013

Médoc

Les hôpitaux de Lyon fonctionnent avec des étiquettes.
Celles du premier rendez-vous ne m'ont pas posé problème, mais celle de la pharmacie... ha ! parce qu'il faut aussi d'AUTRES étiquettes pour la pharmacie ?

Le docteur est une femme charmante avec qui j'ai pu discuter sans problème de tout. "Avez-vous des questions ?" . Je n'ai pas de questions, je suis juste furieux contre moi, contre mes ardeurs impulsives, contre ce que je n'ai pu maîtriser !

Mais la pharmacie de l'hôpital, qui n'en est pas une puisque c'est une antenne pharmaceutique, fermait entre 13 et 14h et je m'y suis pointé à 13h10. Il a fallu que j'y retourne avant 18h et retourner chercher des étiquettes... aux urgences. Quelle paperasse !

Pas de prinpéran ni d'immodium, car je ne suis plus nauséeux comme hier matin ni perturbé du bide comme hier toute la jouréne, "juste" du Kaletra et du Truvada. "Juste", et j'en ai pour 28 jours en tout, avec un contrôle au milieu et à la fin du traitement, puis encore un test dans quatre mois.

C'est clair, on ne m'y reprendra plus et la doctoresse n'a pu que me dire de mettre un préservatif (d'ailleurs, elle a dit préservatif ou capote ?).

Je n'ai pas joué fin sur ce coup, pensant que tout cela devait être trop beau pour être vrai, c'est en fait moche. Ne pas se fier aux apparences et toujours se protéger. Enfin, je crois que j'ai compris.

Passage aux urgences

Me voilà en train de faire la visite des hôpitaux... Mardi soir.
Les urgences de la Croix-Rousse ferment à 21h, mais pas celles de Saint Joseph.
Il y avait du monde sur des brancards, certains amochés entre policiers et pompiers. Il faut raconter sa vie à chaque personne, en tout quatre de la standardiste au médecin.
Ce midi, je vais à HEH, pour les travaux plus sérieux.
Hier, mon ventre criait sous la torture, ce matin il est silencieux. J'ai enfin pu dormir d'une traite et mes jambes, tellement douloureuses en soirée que j'en boitais, ne me font plus mal.
Les analyses de sang ne m'ont rien appris de plus, juste confirmé les différentes sérologies dont celle du HIV négative, avec soulagement.
Si je suis content ? Non, je suis furieux contre moi ! Je croise les doigts pour que tout ceci en reste là et je me promets qu'on ne m'y reprendra plus.

mardi 12 février 2013

Les gones

En parler lyonnais, un gone peut être est un enfant (mais on préfère l'appeler mami) et plus généralement tout lyonnais de souche.

Les miens de gones, ce sont les derniers tout-petits.
Samedi, Noé et Anthony mon fait le plaisir d'être là.
C'est tout un art que de tisser des liens avec eux, et je ne suis pas un expert. Noé est très sensible et Anthony pas moins. Il faut donc les approcher avec douceur et même attendre que ce soit eux qui décident du contact. Avec le temps et les rencontres, cela va plus vite, mais il ne faut tout de même pas leur sauter dessus.
Ensuite, on peut jouer avec eux, les câliner. Les faire rire. Le rire d'un enfant est toujours surprenant et attendrissant. Il arrive quand on fait suffisamment l'andouille avec forces grimaces et bruit de bouche. Les câlins restent assez rares et distants. Ces petits bouts aiment garder leur distance.
Noé adore jouer à fait moi peur. Je lui ai couru après dans la cuisine et la salle à manger, il avait l'air ravi de me voir grognant à quatre pattes. Maintenant qu'il marche, c'est plus amusant pour lui de fuir en riant. Il n'avait pas vu que je l'attendais dans un coin et sa surprise n'a pas été petite quand il m'a entendu. Je n'ai pas vu son visage effrayé, mais ses parents ont bien ri quand il a fait demi-tour et qu'il a détallé.
Noé reconnait qui est pépé et mamou, mais il n'arrive pas encore à dire pépé qu'il remplace par papou. S'il garde ce vocable, je pourrai lui conter l'histoire des papas papous avec et sans pou.
J'ai eu la flemme de sortir pour voir Yumi (on prononce youmi) chez elle. Elle pousse mais reste fluette et mignonne.

Ce soir, c'est gymnastique. Mais c'est une autre histoire.

lundi 11 février 2013

Journée chargée

J'ai vraiment bien bossé aujourd'hui. Ce n'est pas que d'habitude je ne fasse rien ou que je travaille mal, mais j'ai pu avancer et aboutir. Rien ne m'énerve plus que de ne pas aboutir et de laisser en plan ce que je fais.
Parmi les nombreux visiteurs faisant des allers-retours entre salles de réunion et distributeur de café, j'en ai noté deux qui m'ont bien plu, dont un qui me regardait à chaque fois qu'il passait. Alors pour ne pas rester sur ma faim et mes questions, quand il est repassé en direction de la cafetière, j'ai compté jusqu'à 10 et je l'ai suivi. Il se servait une boisson. J'ai de suite engagé la conversation. Un autre collègue est arrivé et nous nous sommes retrouvés à discuter dans son bureau.
Le regard de celui que j'avais suivi se portait de temps en temps sur mon paquet. Je dois dire qu'avec le pantalon que j'ai aujourd'hui il n'y a pas grand chose à voir. Par contre, le sien, de paquet, faisait une bosse monstrueuse à son jean. Pas besoin d'imagination pour deviner le contenu de la bosse en question.
Ce qui me faisait me demander s'il ne faisait pas partie de la même maison que moi. Pas de bague à la main gauche, mais une à la droite. Très agréable et relationnel avec tous ceux qu'il rencontre. Le doute ne m'a pas taraudé longtemps. Il nous a raconté comment son conjoint Philippe se retrouvait aux urgences depuis hier soir. Ah ! bienheureux conjoint !
J'ai bien aimé sa façon naturelle de parler de tout ça, tout le monde devrait en faire de même.
En attendant, j'espère qu'on va se revoir pendant son séjour à mon étage et bien plus si affinité. Je suis curieux.

Un autre homme a fait une annonce aujourd'hui, c'est Benoit qui prend sa retraite en fin de mois. Voilà une bonne chose que de savoir tirer sa révérence quand il est encore temps. Bravo Benoît !

J'ai donc vu deux hommes qui assument, c'est à noter.

Pendant ce temps, une charmante jeune femme demandait à mon collègue de faire une simulation...

Appelez-moi pépé, s'il vous plait :)

dimanche 10 février 2013

Les soldes

Les soldes sont pour moi la seule occasion d'acheter des vêtements. C'est vrai, pourquoi acheter au prix fort lorsqu'on peut avoir les mêmes choses moins chères ? Les achats se font donc en janvier et en juillet, deux fois pas an.
Mais je n'ai pas la fièvre acheteuse et à chaque fois je dois me faire violence pour y aller.
Cette année, j'ai été sidéré par les prix ! Mêmes soldés, ils dépassent ce qui peut être raisonnable.
Par exemple, une paire de grolles soldées chez André était encore à 100€ ! Du coup, je n'achète plus chez eux.
Je me suis acheté, en plusieurs fois, deux pulls, un robe de chambre, une paire de chaussures. Rien de bien transcendant ! J'aime bien mon pull en acrylique, il est chaud et doux, tricoté en jacquard. Ma femme en est jalouse, disant que on fait toujours de plus beaux pulls pour les homme que pour les femmes...
La mode des chemises à carreaux façon bûcheron ne m'a pas convaincu, je n'en ai pas pris et je n'ai pas trouvé de veste ouverte comme il y en avait l'année dernière ou de pulls coloré. La mode passe vite, il me faudra attendre quelques années pour le revoir.

vendredi 8 février 2013

Quand ça pèle

Ce matin, j'ai dû gratter la selle su vélo'v avec mon passe d'immeuble ! Un couche blanche de neige givrée recouvrait le plastique noir où j'allais poser mes miches.
Les averses de neige n'ont pas arrêté de la journée.
Au boulot, j'ai pu travailler avec deux grenoblois, un homme et une femme. Ça fait du bien de voir de nouvelles têtes.
La semaine prochaine, c'est moi qui irait à Grenoble.

Enfin la fin de semaine ! Je ne risque pas de faire du roller ou du vélo à cause du froid. J'irai peut-être me mettre au chaud dimanche après-midi. Ou pas, car ma fille vient...

Ce soir nous avons une invitée de passage à la maison. Juste pour une nuit. Un peu d'animation qui vient couper le train-train domestique.

jeudi 7 février 2013

De peu

Présent sur une liste de candidats pour le CE de ma boîte, j'ai bien failli être élu... Heureusement, le couperet sera pour une autre fois ! Je suis soulagé.
Ce soir, première garde jusqu’à 19h30 au boulot. Gilles, sur l'autre site, m'a écrit à 19h15 en disant qu'il restait encore et que je pouvait m'en aller. S'il me l'avait dit à 17h00 et pas un quart d'heure avant la fin ça m'aurait bien fait plaisir. Mais là, c'était trop tard. J'en ai quand même profité pour lui dire que je lui ferai la bise pour le remercier la prochaine fois que je le verrai. C'est vrai que c'est le plus mimi des garçons de l'équipe.
Donc ce matin j'ai commencé vers 10h30. Ça ne m'enchante guerre car je ne peux pas faire de grasse mat'et il faut tuer le temps en attendant. Pas de vélo'v à la station, comme très souvent. De la neige serrée en rafales, une température hivernale, des voitures un peu blanches.
J'adore mon nouveau pull, je me sens bien dedans et il est tout doux. Vive l'acrylique ! Ma femme en est jamouse.
Hier soir, après la chorale, j'ai fait un tour chez Philou pour discuter zique. Je suis rester sur ma faim, n'arrivant pas à me décider à lui poser la question : es-tu pd ? Il sait rester discret le bougre et aucun indice visible dans son appartement. A suivre.

mardi 5 février 2013

Ça mouille !

Un grand soleil brillait ce midi, malheureusement remplacé par un rideau de pluie ce soir. Rentré en vélo'v, je suis bien sûr trempé au niveau des jambes. Et comme ce n'est pas encore l'heure, les rues ne sont pas allumées malgré le peu de lumière. Autant dire que j'ai pédalé comme un fou pour ne pas m'attarder.
Ce midi, repas sympa avec JE² à la crêperie du coin. J'ai franchement l'impression de ne pas savoir écouter et de passer trop de temps à parler de moi.
Ensuite, passage chez un nouveau coiffeur qui est une coiffeuse efficace et souriante.
Pour l'instant,  je me sustente avec une banane à éplucher. Un avant goût de la soirée...

lundi 4 février 2013

La vélodyssée dans les Landes

Depuis bien des années, j'avais envie de faire du roller sur mon lieu de vacances. Une seule piste verte, partant de Lit-et-Mixe et allant à Lévignac, m'avait donné entière satisfaction et quelques heures, souvent courtes, de patinage dans la forêt.
Cette année, enfin ! , la partie littorale s'est vue dotée d'une belle piste cyclable pour vélos et rollers.
Cette piste fait toute la façade atlantique et dépasse de très loin le département des Landes. Lit faisant souvent de la résistance, ce n'est qu'en juin 2012 que la dernière portion a été terminée.
Tout sur la Vélodyssée sur le site !

Pour ce que j'en ai fait, par tout petits bouts à chaque fois, m'a bien plu.
C'est une belle piste, toute neuve avec un goudron très lisse et parfait pour le roller. Les passages sous les pins sont couverts d'aiguilles qui ne gênent pas si la couche reste raisonnable. Mais c'est assez remarquable (voir la vidéo).
A chaque carrefour, les indications de directions et de distances sont claires, accompagnées d'une carte.
Le point fort de cette piste est qu'elle est entièrement dédiée aux vélos, les croisements de routes sont bien protégés.
Quelques points faibles cependant, dont il faut tenir compte si vous voulez randonner :
- pas de point d'eau
- pas d'abris
- pas de siège facile à atteindre en roller (il ne reste plus qu'à s’asseoir par terre !)
- parfois la piste rejoint la route comme à Contis plage (où je l'ai d'ailleurs perdue...)
- et comme très souvent, certains vélos vont beaucoup trop vite et occupent toute la place !!!

La piste n'est pas trop loin de l'océan mais pas sur la plage non plus. Pour y accéder, il faut remprunter des bouts de routes transverses ou de piste non goudronnée.

Enfin une voie verte qui donne toute satisfaction ! A ne pas manquer !

Les photos et vidéos sont là :

VélodysséeVélodysséeVélodysséeVélodysséeVélodysséeVélodyssée
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Galerie de JaHoVil sur Flickr.

dimanche 3 février 2013

Trop proche

Mariage pour tous : 1+1
Mariage pour tous : 1+1
J'ai voulu savoir ce que ma mère pensait de ce sujet d'actualité qu'est le mariage pour tous, mais je ne savais vraiment pas si je devais l'aborder de front, ni même si je devais lui poser la question. Alors j'ai attaqué par le biais de Taubira et de la loi en cours au parlement. Cela a immédiatement inspiré mon beau-père qui nous a parlé de cette rumeur du drapeau français brûlé. "Et maintenant elle est ministre". Ma mère a eu des visions plus concrètes de deux mecs ou deux femmes s'embrassant à la sortie de la mairie suite à un mariage "gay", mais avec un petit air dégoûté. Alors j'ai demandé à ma mère si elle irait à un tel mariage. Elle a dit qu'il faudrait que ce soit de personnes très proches, mais qu'elle n'en connaissait pas.
Sur quoi, son mari nous a avoué que son petit-fils était avec un mec et que c'est sûrement pour ça qu'il ne l'avait pas vu depuis très longtemps, elle a rajouté que cela avait bien fait pleurer sa mère.
Bon, en fait elle en connait, mais ne veut pas le reconnaître.

Ca peut faire peur

Le matin au réveil tout est en désordre.
Il faut que j'aille m'habiller, acheter des fleurs pour moman.
Ne le répétez pas, siouplait.

samedi 2 février 2013

Ou pas

Il y a pas mal d'années, je faisais les courses une fois par semaine le soir, nous n'avions qu'une seule voiture. Grâce à la deuxième voiture, ma femme a pu avoir cette autonomie qui lui a permis d'avoir l'exclusivité de cette tâche domestique bien ingrate. Que je ne lui envie pas et lui laisse très volontiers !
L'inconvénient, pas des moindres, est que je ne choisis pas ce que je mange. Je subis, notamment tout ce qui est gâteaux et brioches dont je raffole par vagues compulsives. Dès qu'il y en a, je dois les dévorer... Ce qui me vaut, bien sûr, des remontrances et des griefs : "ne mange pas tout d'un coup", "tu aurais pu en laisser",  "tu as tout mangé !" et le plus hallucinant de tous "tu aurais dû tout finir et ne pas en laisser un". Mais il suffit que je n'y touche pas pour que je m'en prenne une autre : "j'achète et tu n'en prends pas !". Tout ça, c'est comme la météo : c'est changeant et de plus en plus prévisible.
Ce sont aussi les mêmes remarques lorsqu'elle fait des gâteaux. La dernière fois, lorsque j'ai vu ceux qu'elle était en train de cuisiner, j'ai dit un : "oh tu fais des petites crottes ! " auquel elle a répondu : "eh bien tu n'en mangeras pas" dont je n'ai pas compris le rapport mais auquel j'ai obéis en n'y touchant pas (sauf un dont elle m'a imposé l'ingestion et que j'ai trouvé très bon).
Mercredi, elle sort une boîte de chocolats qu'elle me dit offerte par ses parents et m'en donne un. Mmmmm. Mais lorsque deux jours plus tard j'en prends un elle me dit de plutôt prendre une tablette de chocolat. Dans deux semaines, lorsqu'elle verra qu'il en reste, elle demandera pourquoi on n'y a pas touché...
Pas toujours simple, et là ce n'est qu'un point de détail.

vendredi 1 février 2013

Caramel

Je n'étais pas venu ici depuis un moment. L'interface a subit quelques changements pour la plupart bénéfiques.
Mais je ne retrouve pas comment gérer moi-même la mise en page directement en html ni comment refaire apparaître la barre de connexion sur le blog. Tant pis.

Depuis début janvier, l'ascenseur était en réfection pour le mettre aux normes. Outre le fait que cela m'a coûté un bras, il ne fonctionnait donc plus et nous avons monté nos six étages à pied. Tous les jours.
Ce soir, bonne surprise, il marche. Pas de retard de livraison et des parties toutes neuves toutes belles. Tous les boutons intérieurs et extérieurs ont été changés. Il parle ! Ça je n'aime pas, c'est une pollution dont je me passerais volontiers. Il affiche où il se trouve et même s'il est en maintenance coincé à un étage. On va pouvoir suivre les voisins à la trace. Son sol est tout lisse, fini les carreaux cassés et bombés. Donc, pour l'instant, c'est plutôt positif et on va pouvoir se refaire de la graisse facilement.

Cette période dans les escaliers a permis quelques rencontres de voisinage, dont avant-hier une jeune et jolie femme du troisième, mais aussi des non-rencontres. Une des plus remarquables est celle de mon fils qui loge un étage plus haut et qu'on ne voit que lorsqu'il a besoin de quelque chose - autant dire pas souvent. U  matin, j'étais en train de descendre par l'escalier et j'entendais un éléphant les dévaler joyeusement. Lorsque le bruit a été suffisamment proche pour donner un visuel, les pas se sont soudain arrêtés et je n'ai pas vu l'éléphant qui aurait dû me dépasser. Pour cause, c'était ce grand nigaud qu'est mon dernier qui, m'ayant aperçu et ne voulant pas me voir, avait stoppé net sa descente. Je l'ai bien sûr vu sur le trottoir quelques minutes plus tard, il n'allait pas rester toute la journée entre deux étages.
Je dois avoir un problème avec lui, je crois, à moins que ce ne soit l'inverse. Mais quel couillon ce garçon, j'en reparlerai.

Ce soir, ce sera crêpes avec deux jeunes frères qui viennent passer la nuit à la maison. Leur maman va voir sa maman qui a quelques ennuis de santé.

Demain, il faut que je case une activité masculine pour sortir le trop plein d'énergie que je ressens... Après-demain, dimanche, ma mère nous a invité à manger. On ne s'est pas vu depuis Noël. Je sais que JE y va demain avec sa femme et sa puce. Elle est en veine de relation, c'est bien !