Lundi de Pentecôte
Quelle étrange sensation ce matin de se réveiller et de se dire que je suis le seul de la maison à ALLER TRAVAILLER.
C'est vrai, grand merci au jour de solidarité dont le fruit du labeur n'ira pas dans ma poche et pour lequel la plus grande pagaille reste encore actuelle.
Dans ma merveilleuse boîte, nous pouvions poser initialement un jour de congé, mais ceux-ci ont tous été gelés fin avril. Plus possible donc de se mettre au vert pour cette journée. On doit travailler. Et pour faire rire encore plus fort, ce sera pour 7 heures et pas 7h70.
Les rues de Villeurbanne étaient vides, bien plus qu'un dimanche. Nombre de magasins étaient fermés, mais il restait quelques collègues de travail dans les bureaux semi-désertés. Mes clients, eux, ne chômaient pas non plus et j'ai pu passer moult coups de fils à Toulouse, Lyon et Le Pec.
Un tour au parc de la Tête d'Or m'a replongé dans la foule des beaux jours, bien que le temps fut assez frais.
Comment ne pas voir le beau et le laid ? Je vous épargne le laid pour aujourd'hui.
Du coup, fort de quelques photos, je viens de faire un album sur "Mollets et gambettes" :
Journée productive, remplie et sans café car je n'avais pas de monnaie.
Rentré à la maison, j'ai fait une tarte lard-pruneaux pour demain soir où les personnes de la résidence se retrouvent pour une repas debout. Je ne pense pas, hélas, voir les deux mecs de l'autre jour...
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