mercredi 4 juillet 2007

Repas d'immeuble

Lundi soir, je suis allé au repas de l'immeuble, avec femme et enfant.

C'est l'occasion de rencontrer des gens que je ne vois que très rarement.
Peu de monde vient comparé au nombre de gens habitant les deux allées de ma résidence.
J'y ai retrouvé les vieux de la vieille, ceux qui sont là depuis le début, comme moi.

Le vin était abondant, et comme je n'en bois pas, je me suis rabattu sur les jus de fruits.
J'ai grignoté par-ci par-là des parts de cake ou de pizza ou quelques bonbons.

Les discussions sont généralement sans intérêt et je fais attention à ne pas passer trop de temps avec ceux qui me fatiguent.
J'ai par contre pu parler un bon moment avec un voisin du quatrième que je n'avais pas rencontré depuis quelques temps.
On a donc parlé boulot et aussi de sa prise de poids. Là, je dois dire qu'il est de plus en plus ventru, ce qui n'est pas très beau à mes yeux. D'autant qu'il est encore jeune. Il dit avoir pris huit kilos ces derniers mois.

Dans les nouveaux jeunes couples, deux sont venus. Très sympas. Les deux hommes sont assez mignons, il faut le dire.
Cette année, un seul célibataire a daigné se pointer. Dommage, ce sont principalement des mecs seuls.

Rien de bien transcendant, mais un petit temps sans prétention qui permet de voir les gens plus longuement que dans l'ascenseur.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Est-ce que c'est difficile de vivre en France quand on ne boit pas de vin ? Quand j'étais là l'année dernière, il me fallait toujours dire non, expliquer que je ne bois pas d'alcool, et demander une eau minérale ; on m'a toujours regardé comme si j'étais fou... ou comme si je venais d'une autre planète !

JaHoVil a dit…

J'ai très souvent refusé de boire du vin, ce qui est tout à fait accepté en France, même si ça laisse planer un doute sur la santé mentale de celui qui dit non. C'est comme si tu disais que tu n'aimes pas le pain.
Si c'est un étranger, comme toi :), qui refuse, c'est plus grave. Cela peut être compris comme un rejet de ce qui est français. Dans ce cas, il vaut mieux accompagner son refus d'une explication laconique, du genre "il ne m'aime pas", "je ne le supporte pas". Il vaut toujours mieux se faire plaindre.