dimanche 11 mars 2007

Comme ils sont attachants !

Ne pas lire la suite si vous êtes sensible.

Il arrive parfois de se trouver confronté à plus petit que soi et de ne s'en rendre compte que lorsque quelque chose ne colle plus. Ou lorsque quelque chose... gratte.

La première fois, il faut pas mal de temps pour comprendre de quoi il retourne, mais les fois suivantes, parce qu'inévitablement il y aura d'autres fois, la suspicion se transforme vite en désillusion et grincements de dents.

Je ne sais pas comment les autres gèrent la situation, mais j’avoue que je ne suis pas très rapide.
Aux premiers grattements inhabituels, je laisse courir, me disant que je me trompe.
Cette fois-ci, je me suis même amusé à raser la partie antérieure de mes cuisses. Ca fait un gros tas de poils. Une fois précédente, j’avais rasé le pubis, mais je n’aime pas trop.
Mais, à moins de tout raser, ce que je ne veux pas faire, j’ai encore laissé passer le temps. Et ce n’est pas la bonne solution, car rien ne les fait partir, sinon un produit adapté et parfois corrosif.

Pourtant, j’ai un signe personnel dont je devrais systématiquement tenir compte. Lorsque je suis attaqué par ces petites bestioles, si difficiles à voir à l’œil nu, j’ai l’avant-bras gauche qui me gratte. Cela se produit depuis le jour où une de ces saloperies y avait fixé domicile. Et je me rappelle encore lorsque je l’avais enlevé. Beurk.

J’ai pris un champoing traitant hier et, au soleil, j’ai fais la chasse aux intrus. Rien de mieux, effectivement que la lumière du soleil pour parcourir la jungle des poils et allumer la scène de crime. Bonne pioche ! Trois intrus, que je montre en photo avec les pinguiculas, et trois lentes mortes. Pas ragoutant mais propre. Ils étaient vigoureux, les bougres ! Je vais refaire un champoing suivi d’une inspection.

Quant à savoir avec qui j’ai chopé ça… et à qui j’ai pu en passer…
Je n’aime cette idée que j’ai pu en refiler à quelqu’un, mais je crois que c’est inévitable.

Désolé de vous affliger ce genre de récits, c’est la vie.

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