mercredi 1 novembre 2006

Juste là

Rêve du matin.

Dans un contexte de compétition olympique, je sais que je rêve et j'explore cette histoire comme un pays inconnu. Curiosité, découverte,

Nous sommes nombreux à attendre. Attendre quoi ? On attend, c'est déjà pas mal. Nous sommes dans une avenue assez large. Avec moi se trouvent ma femme et d'autres personnes féminines que je ressens comme amicales.

Une grosse structure de couleurs vives est mise en place devant nous. Elle est constituée de hangars en forme de cloche, superposés les uns sur les autres sur leur partie gauche. On dirait une église. C'est assez joli.
Une fois montée, la structure est positionnée en bout d'avenue, au-dessus d'un rond-point où passent les voitures. Cela ressemble tout à fait à la "fosse aux ours" qui est actuellement en travaux à Lyon. Je me pose la question de savoir comment nous allons entrer dans ce bâtiment malgré le chantier et en avançant, je découvre qu'une passerelle couverte en pente douce nous permet de l'atteindre par dessus les voitures. Astucieux.
Comme nous sommes nombreux, nous avançons lentement dans ce couloir bien éclairé. Je ne retrouve pas mon appareil photo. J'ai dû le laisser quelque part. "Quelqu'un a vu mon appareil photo ?". Je ne suis même pas inquiet, juste interrogatif.
Nous débouchons dans un espace immense Mais où ont-ils été chercher tous ça ? C'est beau, c'est grand, les formes sont douces, arrondies.
On me tend mon appareil retrouvé. Merci, j'avais raison de ne pas m'inquiéter, il était plus bas.

Notre premier objectif est de trouver une chambre pour loger. Elles sont réparties sur les côtés. Celles que nous trouvons sont occupées, je poursuis et tombe sur les douches. Je ne vais pas dormir là ! Des personnes sont sous la vapeur d'eau, je ne les vois pas. Puis un garçon apparaît en train de s'essuyer, tout nu. Mais comment ont-ils fait pour être là avant nous ? Nous étions les premiers. Mystère et déconvenue.
Je me dis qu'au fond du bâtiment, on doit pouvoir voir le Rhône par une fenêtre.
Me femme et ses copines ont trouvé une chambre, mais il n'y a plus de place pour moi.

Je monte d'un étage. L'espace est toujours immense. Les lits sont directement disposés le long de la cloison extérieure, comme des banquettes. Ca ne me convient pas du tout, je ne tiens pas à dormir dans un dortoir avec plein de personnes qui ronflent. Je veux une chambre avec une porte.

Mais le temps passe, les compétitions vont commencer.
Je descends vers la salle de sport. Les spectateurs remplissent les gradins, les joueurs sont sur le terrain. On dirait une salle de basket vue d'en haut. L'ambiance est animée. Les couleurs sont chaudes.

Fin du rêve, car je me réveille. Homo erectus, comme d'habitude.

Si quelqu'un veut me dire ce qu'il en pense, je suis preneur. J'ai bien sûr ma propre "interprétation" que je ne dévoilerai pas ici.

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