mercredi 27 avril 2011

Remarque

Quand il ne reste que le caniveau
Avec les beaux jours et l'augmentation du prix des carburants, je fais mes trajets maison / travail en vélo.

Il est bien connu que les rues de Villeurbanne ne sont pas toutes très larges et le Cours Émile Zola, deux fois deux voies, est particulièrement malaisé.

Les voitures se côtoient donc de très près et frôlent les vélos. Ce matin, l'une d'entre elles m'a forcé à freiné pour ne pas me faire bouter sur le trottoir. J'en ai été fâché et au feu rouge suivant, j'ai abordé le conducteur pour lui dire ma pensée.
C'était une femme. Elle est resté fenêtre fermée pendant tout mon discours tout en me regardant. J'ai dû lui rappeler qu'elle devait prendre un mètre entre nous. Elle ne répondit rien, si bien que je lui ai demandé si elle avait compris ce que je disais. Elle hocha la tête en signe d'acquiescement.

Lorsqu'elle me doubla pour la deuxième fois, elle avait pris toute ses distances et choisi la file de gauche.

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