A qui sait attendre
Et dire que dans quelques jours, nous allons gagner en liberté.
Et dire que j'attends ça depuis... presque trente ans.
Je vais pouvoir retourner dans les bars, les bistrots, les boîtes de nuit, les brasseries et même les bureaux de tabac.
A moi les virées au zinc devant un petit noir ! A moi les danses effrénées jusqu'à perdre haleine !
A moi les backrooms salons de thé !
D'après ce curieux adage : "la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres" (à moins que ce ne soit "la liberté des uns commence où s'arrête celle des autres", je ne sais plus) nous allons passer un cap de liberté formidable.
Nous, je ne suis pas triste pour les fumeurs, ils feront avec et les autres sans.
1 commentaire:
Étant non fumeur, je dirais "super"... mais dans le fond, comme j'ai appris à supporter l'odeur de la cigarette, je me contenterai de "A bas les fumeurs de cigares dans les restaurants!" :o)
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