lundi 31 mars 2014

Ellyne, 27 mars 2014

Ellyne, jolie petite fille brune, est née le jeudi 27 mars 2014, à 9h13.


Le regard vif, elle ravie toute la famille, à commencer par son frère Noé et son grand-père.

lundi 17 février 2014

Pôle Emploi

Non, je ne suis pas inscrit à Pôle Emploi, heureusement pour moi !
Et pourtant, depuis que j'ai mon nouveau numéro de téléphone, je reçois une fois par mois un sms de leur part. Un certain versement mensuel m'a bien été fait.
Impossible de répondre au sms, juste histoire de dire que je ne suis pas celui qu'ils croient que je suis, puisque c'est un serveur qui envoie ce genre de sms.
J'ai même reçu une confirmation de rendez-vous dans une agence, celle de Arles. J'ai cherché un numéro de téléphone ou un courriel pour signaler la méprise, mais là aussi en vain, tout numéro de téléphone est centralisé et payant, à moins d'être inscrit à PE (?). Je ne vais pas payer pour les contacter.

Donc, voici mon message pour Pôle Emploi : si quelqu'un de chez vous lit ceci, merci de me contacter pour me donner un bête numéro de téléphone ou un courriel pour l'agence d'Arles, je pourrai indiquer que le numéro de téléphone qu'ils ont enregistré n'est pas le bon et que peut-être ils se sont fait enfler ?

Ce matin, aux infos, il parait que seulement 10% des gens font confiance à Pôle Emploi. Cela me parait beaucoup.

samedi 15 février 2014

Quand le métro est gratuit

A Lyon, le métro est gratuit pour tous au moins une fois par jour. Rien qu'un seule fois, à chaque jour.
J'ai eu l'occasion d'en profiter cette semaine.
Les barrières sont toutes ouvertes, aussi bien en entrée qu'en sortie.
C'est l'occasion de prendre la dernière rame de la journée, la toute dernière avant l'arrêt du service et la fermeture des grilles du métro.
Pratique, économique, mais il ne faut pas le manquer, ce dernier métro ! Il passe à 0h25 à Hôtel de Ville en direction de la soie.

mercredi 12 février 2014

Peau neuve pour le pc

Ce soir, je viens de sauvegarder tout ce que je pouvais de mon pc. Quelques giga placés sur mon disque dur externe, celui-là même qui reçoit les photos.
Il a fallu une bonne heure, et j'espère ne pas avoir oublié quelque chose. Ah si, tient ! le fichier hosts. Tant pis.
Donc demain, je donne mon pc à un collègue de travail, à l'agence, et je suis sensé le récupérer tout reformaté le matin suivant.
Ensuite, il faudra touuuuuuuut restaurer et réinstaller ce que je n'ai plus. Et aussi découvrir les nouveautés, ce qu'on peut faire et ce qu'on ne peut pas faire. Réjouissances en vue.
J'espère que je n'aurai pas de mauvaises surprise !

mardi 11 février 2014

La chorale

Cette année, nouvelle chorale.
Changer de chorale n'est pas un exercice difficile, mais m'a demandé une certaine réflexion. On sait toujours ce qu'on quitte mais pas ce qu'on trouve. Donc, j'y pensais depuis quelques temps déjà.
Lorsque notre cheffe de chœur nous a annoncé son départ pour cause de mutation, j'ai cherché les chorales existantes pas trop loin de chez moi. J'avais depuis longtemps une option pour AVAV, mais qu'allait penser la famille et les proches de me voir dans une chorale gay ? Hummm. Hé bien en fait, pas grand chose.
Donc en octobre, je me suis pointé aux répétitions.
Mais avant, j'avais pu tout connaître de l'intérieur grâce à un ancien choriste croisé sur le sites des ours et chez qui j'étais allé boire un coup. Rumeurs et ragots bien croustillants.
L'accueil fut plutôt sympathique, et comme toujours, j'ai dû me faire une petite place et quelques bises à ces messieurs. Très peu de bises à ces dames, il faut plus de temps pour briser la glace.
Dès le deuxième mois, j'ai pu me retrouver avec toute la troupe lors d'un week-end de chant. Bonne ambiance, lieu agréable, nuit difficile car j'avais trop chaud et un des lits grinçait, très bons repas, soirée danse animée.
Au fil des mardis de répétitions, j'ai pris un peu plus mes marques, mais je remarque quand même qu'il est difficile de rentrer dans un groupe constitué.
Côté chant, c'est assez bon. Le chef de chœur me fait toujours rire, ce qui est un très bon signe. Il est assez pro et j'aime le suivre dans sa direction. Les choristes sont ici tous des piliers, ce qui me change vraiment de la précédente chorale. Pas de groupe à la traîne, de note qui se casse la figure, enfin pas trop.
En ce moment, mes deux voisins sont un nouveau qui découvre le chant choral et sa voix, et un ancien choriste de l'an dernier qui a fuit en décembre, accompagné de trois femmes.
La chorale est très active en terme de soirées et d'activités, mais je n'y vais que rarement.
Le concert est en mai, et d'ici-là on aura droit à deux après-midi et peut-être encore un week-end. La pièce présentée est Carmen in Swing, avec solistes, instruments, récitant, à l'église Saint Augustin de la Croix-Rousse. Je n'ai pas encore l'affiche.
Chorale très gaie, donc.

Le bilan pour l'instant est bon, je prends plaisir à chanter avec les quatre vingt autres choristes.

lundi 3 février 2014

Aux yeux bleus

Nous voilà chez Norauto pour trouver une batterie pour la voiture de madame, car celle en cours a rendu tous ses volts (la batterie, car la madame a encore du peps même quand elle ronfle).
Nous trouvons l'empilement des batteries sans trop de recherche et je feuillette le catalogue pour trouver le modèle qui convient. J'en suis à comparer les trois propositions affichées quand un vendeur arrive et se propose de nous aider.
Ah !!! Des yeux bleus immenses et une barbe rousse courte me captivent tellement que je n'entends presque pas ce qu'il dit. Joli visage, voix classique, mais regard pétillant, bonne humeur, même de l'humour transforme ce coin de magasin en petit paradis. J'en reste coi.
Il nous explique des tas de choses sur le prix, la puissance, la garantie, de façon claire et incisive. Il prend la batterie choisie et la porte jusqu'à la banque de la caissière. Il nous fait encore des recommandations puis part s'occuper d'un autre client.
Bravo monsieur pour cet accueil très sympathique et merci pour ce beau regard bleu malicieux !

Compétition

Podium
Hyacinthe devant l'affiche de l'événement

Hier, samedi premier février, ont eu lieu les championnats de France handisport en salle. A Lyon, salle Tiagana.
C'est Hyacinthe qui m'en avait parlé, sinon, je n'en aurais pas été informé.
La pluie tombait et la salle n'était pas très chauffée. Le public était composé des familles et ds autres sportifs. Une rencontre intimiste à peine couverte par FR3 le temps de quelques prises et interviews.
Depuis que je connais Hyacinthe, je m'intéresse un peu plus à ces sportifs différents, mais c'est la première fois que j'assiste à une compétition, et la première aussi pour une nationale.
Guide et champion, au coude à coude et liés
Donc peu de monde, peu d'ambiance, mais tout le loisir pour comprendre les différentes disciplines bien présentées et quelques handicapes. Aveugles, sourds, amputés, imc, classés par catégories concourent tous de façon très pro. Échauffement, prise de distance, et course où tout est donné, rien ne distingue ces sportifs des autres.
Étaient présents le lancer de poids, le saut en longueur, le saut en hauteur, les courses, le relai 4x200.
Mais je n'ai pas eu le plaisir de voir courir Hyacinthe qui s'était blessé la semaine précédente. Il était là malgré tout et suivait les épreuves depuis la tribune, tout en discutant avec les autres sportifs.
Bel événement sportif donc, mais bien trop méconnu.

vendredi 31 janvier 2014

Le drame

En fait, pas un mais au moins deux.

Bon, j'ai pris le temps de choisir trois chemises et un pull à évacuer de ma penderie. C'est vrai, j'ai du mal à faire le vide et à me séparer de ce que j'ai. Là, ce sont des reliques archéologiques qui vont disparaître, des témoins d'autres époques, des souvenirs.

Donc deux drames.
Un concernant le gratin de pattes que j'avais remplacé par des pommes de terre sautées en petits carrés, mâtinés d'oignons au curcuma. Pas de gratin ! Ce sera pour le lendemain.
L'autre drame est plus complexe mais non moins réel. La chasse d'eau n'avait pas été tirée de toute la journée et la grosse commission de madame avait décanté jusqu'à ce qu'elle la retrouve en rentrant de son voyage en train. Mais comment ? Tu n'as pas tiré la chasse d'eau ce matin ? Si c'est comme ça, je la tirerai le matin ! Oui, parce que lorsque madame se lève avant moi, elle ne tire pas la chasse pour ne pas me réveiller. Et ce fut le cas ce jour-là puisqu'elle était partie de la maison avant même que je n'ouvre un œil.
Alors, mais pourquoi n'ai-je pas vidé la chasse ? C'est tout simple. D'abord, je ne me jette pas dans les chiottes quand je me lève, pisser n'est pas ma première priorité, et ensuite, je pisse tout bêtement dans la douche lorsque je la prends, jouissant de toutes sortes de sensations et surtout de celle de liberté masculine de se libérer sans rien tenir. Peut-être des réminiscences de cette époque très lointaine et enfantine où le pipi caca se faisait sans y penser. Et peut-être pas.
Après cet intense moment de révélations intimes qui ont pu faire sourire certains et plisser le nez d'autres, je vais finir le tour de lecture des blogs. Bonne suite à vous !

jeudi 30 janvier 2014

Soldes

Je l'ai déjà dit, je suis pingre, je n'aime pas dépenser. Je ne suis pas accro à la possession ni influencé par la mode.
Du coup, je n'achète des fringues que si elles sont soldées.
Cet hiver, j'ai déjà fait trois fois la tournée des magasins pour dénicher une bonne affaire. Rien trouvé la première fois, mais peut-être était-ce parce j'étais en compagnie de ma femme. La deuxième fois, j'ai trouvé des chaussures de d'jeunes, pas flashy et bien sages.
La troisième fois, hier, Adrien m'a accompagné. Je l'ai emmené voir les Dessous d’Apollon et ce fut bien amusant de deviner à quoi pouvait servir tel slip ou tel body. De la jolie marchandise qui reste très chère même soldée. Dommage. En tout cas, ce fut un bon moment sympa et Adrien n'a raté aucun slip exposé sur un bout de mannequin transparent, généralement montrant le fessier.
J'ai passé plus de temps chez Armand Thierry aux Jacobins, pour finalement prendre trois chemises, un pull et une ceinture. Pour un montant proche des cent euros. Adrien a gentiment patienté et me donnait son avis. Nous avons bien ri et sommes rentrés en vélo'v au boulot.
Lorsque ma femme est rentrée d'une de ses visites chez ses parents, je n'ai même pas eu le temps de lui faire admirer mes emplettes qu'elle me les avait déjà reproché. Il lui semble que j'ai trop de chemises, qu'il faudrait que j'en jette, bref que je n'ai pas besoin de ces nouvelles-ci. Ça ne m'a pas surpris, juste un peu énervé.
Il faudrait que je me trouve un jean, mais pour l'instant, nada. Ce n'est pas facile de trouver ma taille. Donc, je suis encore en chasse. Ce que je n'aime pas.

mardi 28 janvier 2014

Retour en arrière

Ce soir, en rentrant de la chorale, je suis passé, comme à chaque fois, dans ce quartier de Villeurbanne où j'habitais avec mes parents.
La rue est toujours là et presque rien n'y a changé, ni les immeubles, ni les parkings, ni les parcs, pas même les trottoirs.
Dans cette rue, j'ai traîné mes groles. C'était en 1964, cinquante ans, déjà. Un demi-siècle a passé et je suis encore à Villeurbanne. C'est rassurant de pouvoir repasser dans les rues de son enfance, même si je n'y connais plus personne.

Au secours !

Dites, papa maman, est-ce que vous pouvez garder Yumi un après-midi, nous on n'en peut plus !
Bien sûr, on peut la garder, avec joie, aussi longtemps que tu veux, même la nuit.

Voilà Yumi, du haut de ses treize mois, qui faire l'inventaire de la caisse à jouets, les extirpant un à un et les jetant sur la couverture posée sur le parquet du salon.
Elle sourit, babille et part de temps en temps, château branlant, explorer les alentours.
On fait des câlins, des chatouilles, on chante, on fait les marionnettes, on fait des cabrioles et des avions qui volent.
Elle aime bien tout ça et quand elle est contente, elle rit.
Miss boucles blondes est aussi fatiguée. Mais voilà, elle ne veut pas dormir, sauf par inadvertance dans la poussette, mais pas dans le lit. Elle pleure et crie très fort, désespérée de chagrin. Bon, ça dure un petit moment et il faut bien retourner la chercher et la sauver du désespoir. Elle sait qu'elle a toujours raison avec ses parents, elle les mène à la baguette, têtue rebelle et charmeuse.
Pour l repas, c'est aussi du pile ou face. Avec papa maman, ça descend pas trop mal, mais il ne faut surtout pas de morceau. Avec pépé mémé, c'est bien laborieux et bruyant quand elle décide de ne plus vouloir ouvrir la bouche et qu'elle tourne la tête sur le côté pour échapper à la cuillère qui s'avance.

Le samedi après-midi c'est bien passé, Yumi a bien joué avec pépé et lui a fait plein de risettes en lui donnant ses jouets. L'arrivée de papa maman a sonné le début du relâchement, mais c'est de bonne guerre. Elle reviendra le lendemain avec papa pour le repas dominical. Si c'est pas chouette ! 

lundi 27 janvier 2014

Concert à Ainay

La Basilique d'Ainay est toujours un plaisir pour moi. Cet édifice roman est chargé d'histoire et possède même des piliers de l'époque romaine du sanctuaire fédéral des Trois Gaules. J'ai pu regarder quelques chapiteau depuis ma chaise, bien placé.
Le concert était donné par le Cantrel de Lyon, chœur très attachant par son dynamisme et ses voix, dirigé par Hugo Peraldo, accompagné par deux pianos et quatre solistes.
La petite messe solennelle de Rossini fut déroulée avec bonheur, mes préférences allant au chœur et aux deux voix basses. J'avoue ne pas accrocher sur les parties de piano seul, non pas que ce soit mal joué, mais parce que la partition manque de lisibilité.
L'église était pleine, le silence fut donc religieux. Mes collègues choristes ont tous apprécié, ma femme aussi.
Mais quand même, ce n'est pas parce que l'Agnus Dei est le dernier morceau d'une messe qu'il faut le terminer fortissimo en chantant "donna nobis pacem" (donne-nous la paix). Rossini a manqué de retenue. Belle prestation de toute façon, nous somme repartis avec des étoiles dans les yeux.

Ensuite, ce fut, pour la deuxième fois de la semaine, un repas à la brasserie Georges.

dimanche 26 janvier 2014

Sœur Dosithée

Sœur Dosithée est née, si l'on peut dire, ce samedi 26 janvier 2014.
Une femme de 37 ans maintenant, que j'avais connu ado alors que nous venions de rejoindre notre nouvelle paroisse.
Je ne me rappelle pas avoir assisté avant ce jour à une prise d'habit.
J'ai eu un petit moment d'émotion en voyant ses parents apporter l'alliance et sa sœur le psautier. La famille me fait toujours de l'effet.
Sœur Dosithée rejoint une communauté vivante et forte de plus de trente femmes.
L'archevêque est venu présider cette célébration et l'eucharistie. La mère abbesse a reçu les vœux écrits et paraphés et a accueilli la nouvelle, mains dans les mains.
De nombreuses personnes de Villeurbanne avaient fait le déplacement et ce fut avec joie que nous nous sommes revus. Le plus étonnant reste toujours de voir ces gamins devenus adultes, entourés ou non d'enfants, une vingtaine d'années après.
Une nouvelle sœur, habillée et voilée, cachée dans ce monde.