vendredi 31 janvier 2014

Le drame

En fait, pas un mais au moins deux.

Bon, j'ai pris le temps de choisir trois chemises et un pull à évacuer de ma penderie. C'est vrai, j'ai du mal à faire le vide et à me séparer de ce que j'ai. Là, ce sont des reliques archéologiques qui vont disparaître, des témoins d'autres époques, des souvenirs.

Donc deux drames.
Un concernant le gratin de pattes que j'avais remplacé par des pommes de terre sautées en petits carrés, mâtinés d'oignons au curcuma. Pas de gratin ! Ce sera pour le lendemain.
L'autre drame est plus complexe mais non moins réel. La chasse d'eau n'avait pas été tirée de toute la journée et la grosse commission de madame avait décanté jusqu'à ce qu'elle la retrouve en rentrant de son voyage en train. Mais comment ? Tu n'as pas tiré la chasse d'eau ce matin ? Si c'est comme ça, je la tirerai le matin ! Oui, parce que lorsque madame se lève avant moi, elle ne tire pas la chasse pour ne pas me réveiller. Et ce fut le cas ce jour-là puisqu'elle était partie de la maison avant même que je n'ouvre un œil.
Alors, mais pourquoi n'ai-je pas vidé la chasse ? C'est tout simple. D'abord, je ne me jette pas dans les chiottes quand je me lève, pisser n'est pas ma première priorité, et ensuite, je pisse tout bêtement dans la douche lorsque je la prends, jouissant de toutes sortes de sensations et surtout de celle de liberté masculine de se libérer sans rien tenir. Peut-être des réminiscences de cette époque très lointaine et enfantine où le pipi caca se faisait sans y penser. Et peut-être pas.
Après cet intense moment de révélations intimes qui ont pu faire sourire certains et plisser le nez d'autres, je vais finir le tour de lecture des blogs. Bonne suite à vous !

jeudi 30 janvier 2014

Soldes

Je l'ai déjà dit, je suis pingre, je n'aime pas dépenser. Je ne suis pas accro à la possession ni influencé par la mode.
Du coup, je n'achète des fringues que si elles sont soldées.
Cet hiver, j'ai déjà fait trois fois la tournée des magasins pour dénicher une bonne affaire. Rien trouvé la première fois, mais peut-être était-ce parce j'étais en compagnie de ma femme. La deuxième fois, j'ai trouvé des chaussures de d'jeunes, pas flashy et bien sages.
La troisième fois, hier, Adrien m'a accompagné. Je l'ai emmené voir les Dessous d’Apollon et ce fut bien amusant de deviner à quoi pouvait servir tel slip ou tel body. De la jolie marchandise qui reste très chère même soldée. Dommage. En tout cas, ce fut un bon moment sympa et Adrien n'a raté aucun slip exposé sur un bout de mannequin transparent, généralement montrant le fessier.
J'ai passé plus de temps chez Armand Thierry aux Jacobins, pour finalement prendre trois chemises, un pull et une ceinture. Pour un montant proche des cent euros. Adrien a gentiment patienté et me donnait son avis. Nous avons bien ri et sommes rentrés en vélo'v au boulot.
Lorsque ma femme est rentrée d'une de ses visites chez ses parents, je n'ai même pas eu le temps de lui faire admirer mes emplettes qu'elle me les avait déjà reproché. Il lui semble que j'ai trop de chemises, qu'il faudrait que j'en jette, bref que je n'ai pas besoin de ces nouvelles-ci. Ça ne m'a pas surpris, juste un peu énervé.
Il faudrait que je me trouve un jean, mais pour l'instant, nada. Ce n'est pas facile de trouver ma taille. Donc, je suis encore en chasse. Ce que je n'aime pas.

mardi 28 janvier 2014

Retour en arrière

Ce soir, en rentrant de la chorale, je suis passé, comme à chaque fois, dans ce quartier de Villeurbanne où j'habitais avec mes parents.
La rue est toujours là et presque rien n'y a changé, ni les immeubles, ni les parkings, ni les parcs, pas même les trottoirs.
Dans cette rue, j'ai traîné mes groles. C'était en 1964, cinquante ans, déjà. Un demi-siècle a passé et je suis encore à Villeurbanne. C'est rassurant de pouvoir repasser dans les rues de son enfance, même si je n'y connais plus personne.

Au secours !

Dites, papa maman, est-ce que vous pouvez garder Yumi un après-midi, nous on n'en peut plus !
Bien sûr, on peut la garder, avec joie, aussi longtemps que tu veux, même la nuit.

Voilà Yumi, du haut de ses treize mois, qui faire l'inventaire de la caisse à jouets, les extirpant un à un et les jetant sur la couverture posée sur le parquet du salon.
Elle sourit, babille et part de temps en temps, château branlant, explorer les alentours.
On fait des câlins, des chatouilles, on chante, on fait les marionnettes, on fait des cabrioles et des avions qui volent.
Elle aime bien tout ça et quand elle est contente, elle rit.
Miss boucles blondes est aussi fatiguée. Mais voilà, elle ne veut pas dormir, sauf par inadvertance dans la poussette, mais pas dans le lit. Elle pleure et crie très fort, désespérée de chagrin. Bon, ça dure un petit moment et il faut bien retourner la chercher et la sauver du désespoir. Elle sait qu'elle a toujours raison avec ses parents, elle les mène à la baguette, têtue rebelle et charmeuse.
Pour l repas, c'est aussi du pile ou face. Avec papa maman, ça descend pas trop mal, mais il ne faut surtout pas de morceau. Avec pépé mémé, c'est bien laborieux et bruyant quand elle décide de ne plus vouloir ouvrir la bouche et qu'elle tourne la tête sur le côté pour échapper à la cuillère qui s'avance.

Le samedi après-midi c'est bien passé, Yumi a bien joué avec pépé et lui a fait plein de risettes en lui donnant ses jouets. L'arrivée de papa maman a sonné le début du relâchement, mais c'est de bonne guerre. Elle reviendra le lendemain avec papa pour le repas dominical. Si c'est pas chouette ! 

lundi 27 janvier 2014

Concert à Ainay

La Basilique d'Ainay est toujours un plaisir pour moi. Cet édifice roman est chargé d'histoire et possède même des piliers de l'époque romaine du sanctuaire fédéral des Trois Gaules. J'ai pu regarder quelques chapiteau depuis ma chaise, bien placé.
Le concert était donné par le Cantrel de Lyon, chœur très attachant par son dynamisme et ses voix, dirigé par Hugo Peraldo, accompagné par deux pianos et quatre solistes.
La petite messe solennelle de Rossini fut déroulée avec bonheur, mes préférences allant au chœur et aux deux voix basses. J'avoue ne pas accrocher sur les parties de piano seul, non pas que ce soit mal joué, mais parce que la partition manque de lisibilité.
L'église était pleine, le silence fut donc religieux. Mes collègues choristes ont tous apprécié, ma femme aussi.
Mais quand même, ce n'est pas parce que l'Agnus Dei est le dernier morceau d'une messe qu'il faut le terminer fortissimo en chantant "donna nobis pacem" (donne-nous la paix). Rossini a manqué de retenue. Belle prestation de toute façon, nous somme repartis avec des étoiles dans les yeux.

Ensuite, ce fut, pour la deuxième fois de la semaine, un repas à la brasserie Georges.

dimanche 26 janvier 2014

Sœur Dosithée

Sœur Dosithée est née, si l'on peut dire, ce samedi 26 janvier 2014.
Une femme de 37 ans maintenant, que j'avais connu ado alors que nous venions de rejoindre notre nouvelle paroisse.
Je ne me rappelle pas avoir assisté avant ce jour à une prise d'habit.
J'ai eu un petit moment d'émotion en voyant ses parents apporter l'alliance et sa sœur le psautier. La famille me fait toujours de l'effet.
Sœur Dosithée rejoint une communauté vivante et forte de plus de trente femmes.
L'archevêque est venu présider cette célébration et l'eucharistie. La mère abbesse a reçu les vœux écrits et paraphés et a accueilli la nouvelle, mains dans les mains.
De nombreuses personnes de Villeurbanne avaient fait le déplacement et ce fut avec joie que nous nous sommes revus. Le plus étonnant reste toujours de voir ces gamins devenus adultes, entourés ou non d'enfants, une vingtaine d'années après.
Une nouvelle sœur, habillée et voilée, cachée dans ce monde.

mercredi 22 janvier 2014

Toujours moins

Autant c'est simple à faire, autant c'est difficile à faire.
Je suis passé récupérer l'ordonnance chez le docteur hier. Son chier Flyer, que je ne connaissais pas, a failli me sauter dessus mais son maître l'a rattrapé en plein vol. Tant mieux, car j'étais assez surpris de le voir et sa belle masse aurait pu me renverser. Très joli chien.
Ce matin, piqure par une gentille brune dont j'ai à peine senti le dard.
Et puis, l'attente.
Un moment de solitude ponctué par l'arrachage du petit pansement au creux du bras.
Et puis le résultat.
Ouverture un peu fébrile de l'enveloppe, deux feuillets. Identiques : négatif.
Je me sens d'un seul coup plus léger, comme une nouvelle virginité offerte.
Ce soir, ce fut avec plaisir que je célébrais cette bon nouvelle avec Stéphane devant une bonne choucroute.
Pour une fois, une chose négative est positive.

lundi 20 janvier 2014

Le téléphone

Le dernier responsable au boulot, voulant faire des économies de bout de chandelle, m'a réclamé le téléphone d'entreprise que j'avais depuis une douzaine d'années. Je n'ai même pas contesté, je n'ai pas rendu le chargeur, c'est tout.
Je n'ai pas non plus gardé mon numéro de téléphone, j'ai trouvé que c'était une bonne occasion de changer et de faire table rase.

Ce fut donc l'occasion de passer à un téléphone 3G, histoire de pouvoir faire autre chose que téléphoner. En suivant les conseils de JE², j'ai donc pris un Wiko Cink Peax 2 blanc, protégé par une coque à rabat de même couleur.
Le point négatif, à mon avis, est qu'il tourne sous Androïde donc sous Gxxx et que bien des fonctions sont bloquées et plein d'autres imposées (comme YT ou GTk) qu'on ne peut ni désactiver ni supprimer. Je réfléchis à passer en root pour faire le ménage.

Ce qui a été nouveau pour moi fut bien sûr Androïde que je n'avais jamais pratiqué. En écoutant encore les conseils des jeunes de ma famille et des collègues de travail, je me suis installé les applications qui me sont utiles, comme des gestionnaires de mémoire, des gadgets et un jeu.
J'ai réussi à désinstaller le jeu après y avoir passé des heures sans résultats. Car ce monde merveilleux est un vaste trou noir à fric et je ne tiens pas à payer quoi que ce soit pour du virtuel.
J'ai aussi installé des applications sociales, mais j'ai vite abandonné quand je me suis trouvé très sollicité. Le seul contact récolté est toujours dans les rangs et nous avons échangés quelques centaines de SMS depuis deux mois.
Et donc, une autre fonction que j'utilisais peu sur mon autre téléphone est devenue incontournable sur celui-ci : les SMS et MMS. C'est d'autant plus facile qu'ils sont illimités et d'une saisie assistée grâce à une autre application qui permet de glisser son doigt sur les lettres pour former les mots : Swype. Le côté étrange est que chaque SMS est noté dans la facture du mobile, ce qui fait une longue facture...

J'écoute les chants à apprendre pour la chorale, suis mes parcours en roller ou vélo sur une carte, suis notifié quand quelqu'un me suis sur Flickr, consulte mon Wikipédia favori et même lis mes flux rss sur The Old Reader. A Paris, j'ai utilisé l'application de la RATP et à Lyon celle de Vélo'v.
J'utilise peu les photos parce que je les trouve de mauvaises qualité et j'ai toujours avec moi un appareil photo Canon dans ma poche.

C'est donc un appareil qui est devenu presque indispensable, mais il doit être chargé en permanence car la batterie s'épuise assez vite.
Me voilà à la page et je pense que je changerai de téléphone d'ici deux ans.



dimanche 19 janvier 2014

Un dimanche sous la pluie

Je me suis bougé hier après-midi pour aller faire les courses avec ma femme, une forme de ba pour avoir la paix... Peu de monde, pas trop de vieux et pas de voilée (aucune femme ne devrait être voilée, aucune).
Je n'avais pas pensé que JC allait me proposer de boire le thé avec lui le dimanche après-midi. J'ai accepté, car j'aime bien son thé.
Les métros étaient fréquentables, sauf entre Saint-Jean et Gorge de loup, où quatre adolescentes avaient décidé d'écouter de la musique avec un haut-parleur. Un jeune gars est venu poliment leur demander de baisser le son, mais elles n'ont pas obtempéré. Un instant après, il est revenu à la charge, la musique étant encore plus forte, mais elles ont refusé. Une des quatre est même venue du fond du wagon pour lui crier dessus avec un doigt accusateur. Il est resté stoïque, même quand elles l'ont entouré toutes les quatre d'un air mauvais en lui proférant des paroles venimeuses et des cris de bêtes sauvages. Elles sont sorties, méchantes et mal fringuée, mal dans leur tête. J'étais prêt à intervenir si elles en venaient aux mains avec le jeune gars, beau ténébreux. J'avais quand même le cœur en grande accélération, car je ne supporte pas les agressions.
Une station plus tard, deux CRS regardaient les gens passer depuis la galerie.
Dans la rue, une voiture garée avaient brûlé. La voiture devant et celle derrière avaient aussi brûlé, la mousse recouvrait le dessous des voitures sur dix centimètres.

Le système d'ouverture de la porte avait changé, et je m'étais trompé d'allée. La bonne porte fut récalcitrante. Une fois dans le sas, la deuxième porte refusa de s'ouvrir. Une femme arrivait devant la première et n'avait pas le code. Je lui ouvrit. Elle fit le code de la deuxième porte et nous pûmes rentrer, enfin.
La porte de JC était entrebâillée, comme la fois précédente. Je savais ce que cela voulait dire. J'ai posé le parapluie à côté de mes chaussures après avoir refermé la porte. Des vêtements étaient posés sur une chaise, la chaise d'à côté était libre et reçut mon anorack.
Le manque de lumière donnait l'impression que la nuit allait tomber. Le thé fut bon, très bon, comme toujours.
J'ai laissé JC comblé, prêt pour la petite soirée entre voisins, dont l'une venait déjà le voir avec son fils.

Je n'ai pas ouvert mon parapluie multicolores, les gouttes d'eau s'étant faites rares. Je l'ai coincé sur le panier du vélo pour rentrer à la maison.


samedi 18 janvier 2014

Soirée vêpres

Soirée sympa entre amis. Mais je n'ai pas d'ami car je n'en veux pas, quelque chose en moi s'y refuse et ne cherche pas à en avoir.
Soirée divertissante et gaie.

Nous avions rendez-vous à Fourvière pour 7 heures. Cela ne m'a pas laissé le temps de m'arrêter à la maison, juste de poser le vélo et de repartir chercher le métro. A cette heure-là, la fréquence des métros est de deux minutes et permet d'aller plus rapidement à destination.

Séraphins de Fourvière
Donc, un coup de ligne A dans une rame qui est incroyablement bruyante avec des sifflements et hurlements qui me percent les tympans. Assis au coude à coude entre deux personnes à qui je jette de temps en temps un œil, j'observe les voyageurs et m'en fais des idées.
Une foule m'a accompagnée dans la descente vers la ligne D, où les accès aux portes des rames étaient gardées par des técéliens. Plus de conducteur sur ce métro automatique mais des surveillants. J'ai vu partir le métro et n'ai eu à attendre que l'instant d'un soupir pour monter dans le suivant.
Une station et une rivière plus loin, j'ai pris l'ascenseur plutôt que ces interminables escaliers roulants, pour choper le funiculaire. J'y ai retrouvé une des amies en compagnie d'un homme assuré que ma femme connait.
La Basilique Notre Dame de Fourvière
Femme qui m'attendait déjà avec un couple d'amis devant la sortie du funi, face à la basilique de Fourvière toute éclairée de jaune lumineux en cette nuit étoilée.
Tout le monde étant là nous sommes allés aux vêpres où N nous avait invité. J'aime beaucoup les vêpres car tout y est chanté, sauf une lecture. L'orgue accompagnait, d'un ton qui me paraissait lointain, les chants d'une assemblée exclusivement masculine, à l'exception de nos trois dames. Quelques jolis visage, au passage.
N nous fit visiter une bonne partie de cette grande demeure, nous attardant dans la bibliothèque et la réserve et terminant par son lieu de vie.

Tablier de sapeur
La descente se fit de nouveau en funi, et la joyeuse troupe remonta la rue Saint Jean d'un pas bavard. Le Laurencin était rempli d'une autre troupe, jeune et bruyante, qui se faisait entendre bien avant de se faire voir. Nous sommes donc allés aux Pavés de Saint Jean, qui fut une bonne table. J'ai terminé sur une part de tarte praline succulente.
Nous avons bien sûr discuté et je me suis pris à apprécier les deux personnes que je connaissais le moins. Ambiance conviviale et tout un état d'esprit partagé m'ont vraiment plu.

Je sais que je suis un peu pingre et j'ai laissé ma femme rentrer toute seule en métro alors que je prenais un vélov. Je n'avais pas envie de donner un troisième ticket et une balade nocturne  en vélo me permettrait de faire descendre le repas. J'ai malgré tout bien souffert pour remonter les six kilomètres jusqu'à la maison, mes jambes s'étaient platrifiées.
J'ai croisé Macadam Roller au sortir du pont Bonaparte, peu nombreux et laissant passer les voitures à gauche de leur cortège. La place Bellecour était vide, un vent de travers poussait parfois le vélo.
Ma femme est arrivée un quart d'heure après moi

mardi 14 janvier 2014

Ouille mes dents !

Ça va bien, ça va mieux qu'il y a quelques mois, avant que je n'aille chez le dentiste.
J'avais mal à différentes dents et je laissais traîner. Mais non sans raison.
Le dentiste précédent m'avait mis dans un état déplorable, entre charcuterie sanglante et infection non soignée.

Sous l’œil du scialytique
Le plus difficile fut de trouver un autre dentiste. Un premier essai chez une superbe blonde ne me convainquis pas du tout, la trouvant peu sure d'elle. C'était il y a bien deux ans.
J'en ai trouvé un qui a eu bien du boulot pour remettre un peu d'ordre dans le désordre laissé par le précédent - qui, soit dit en passant, avait un gueule d'ange avec des yeux bleus à faire fondre la midinette qui sommeille en nous -.
Il est grand, efficace et n'a pas hésité à dévitaliser, piquer, raboter et arracher. Tout cela a un coût, qui hélas n'est pas pris en charge en totalité par la mutuelle.
Je vais avoir plus d'argent dans la bouche que dans mon bas de laine !
Si tout va bien, jeudi est la dernière fois que je vais le voir et qu'il va me torturer. Ouf !

Je me sens très soulagé, tant dans la bouche que dans le porte-monnaies.

lundi 13 janvier 2014

Comme ils disent

Sauf, que les gens ne disent pas "homo" mais couramment "pd", et dans la tête de pas mal de gens et dans les dictionnaires sont synonymes de sodomite et inverti (ce qui est très différent).

Pour la culture de madame Michu, voici donc une brève explication.

Homo, dans "homosexuel" ne vient pas du latin "homo", qui veut dire homme, utilisé dans "homo sapiens". Non pas du tout. Cet "homo"-là provient du grec "homo" qui veut dire semblable.
Donc, "homosexuel" indique une sexualité orientée ou pratiquée envers les individus du même sexe, un homme vers un homme ou une femme vers une femme, et non une sexualité d'homme.

Voilà madame Michu ! Et ne chantez plus "je suis un hommmm'o comm'ils diiiiiisent", même si cela rend bien à l'oreille.

dimanche 12 janvier 2014

Lecteur de flux

Nous étions quelques millions à utiliser Google Reader, un agrégateur, jusqu'à ce qui Google le ferme unilatéralement sans même tenir compte des nombreuses protestations des utilisateurs. Donc dès le premier juillet 2013, voire avant, il nous a fallu chercher un remplaçant pour suivre les publications des blogs et autres sites.
Existe-t-il d'autres agrégateurs de flux  gratuit ? Oui, certes, mais tous ne proposent pas les mêmes services.

Le premier service que je demande à un agrégateur de flux est d'être accessible sur le web et sans installation sur le pc.
Accessible sur le web implique que le service gère lui-même votre liste de flux et mémorise ce que vous avez lu ou non. Il faut donc un service qui est donné juste à travers une page web.

Dans un premier temps, j'ai utilisé Feedly. Après un temps d'adaptation et quelques réglages, il semblait répondre à mon besoin. Jusqu'au jour où il dérailla complètement en ne donnant plus aucune nouvelle publication ni mise à jour de ce que j'avais lu, et les temps de réponse l'avait rendu inutilisable. Je l'ai donc abandonné.

Et j'ai pris The Old Reader qui me donne entière satisfaction et qui est aussi en français. On y importe simplement sa liste de flux, les dossiers permettent de classer les flux, seuls les articles non lus peuvent être visibles. On y crée un compte ou on peut en utiliser un d'un autre service comme... Google.
Le seul manque concerne la gestion des flux suivis puisqu'on ne peut accéder à une liste pour ne serait-ce que la voir et y supprimer des entrées.
Pour le reste, c'est parfaitement ce que je cherchais. Je peux suivre en temps réel les publications sur n'importe que pc ou téléphone 3G ou tablette. D'ailleurs sur le téléphone, l'affichage est adapté et convient très bien.

samedi 11 janvier 2014

Nada !

Je n'ai rien fait du tout aujourd'hui ! Levé à 9h30, la nuit fut assez bonne finalement.
Hier, je suis allé faire la rando roller. Température encore acceptable, mais je n'aime toujours pas transpirer quand il fait froid. Cette double sensation chaud/froid me déplait au plus haut point.
Un petit tour à Vaise nous a fait passer tout près de JC. Comme il le dit, vivement le printemps !
Tout en roulant, j'ai discuté avec un garçon dont j'avais encouragé les débuts au Lugdu de septembre. En trois mois, il a fait de tels progrès qu'il est maintenant très à l'aise sur ses roues et qu'il en tire un très grand plaisir.
Le retour fut à l'opposé de l'aller, poussif à souhait. J'avais hâte de me retrouver chez moi, j'avais l'impression de ne plus avancer.
Demain après-midi, premier concert avec ma nouvelle chorale. Ce sera une intervention à l'auditorium mais nous ne serons pas sous les projecteurs. J'en attends tout de même quelques émotions.

vendredi 10 janvier 2014

Nom d'oiseau, à plume

Bin tiens !
Vers une heure du mat', je sortais d'un établissement pour hommes où j'avais passé des moments plus qu'agréables. Le trottoir n'excédant pas les trente centimètres à cet endroit, j'ai très attention de ne pas filer comme un boulet dans la rue. Et bien m'en a pris puisqu'une voiture m'est passé au raz de la moustache. Jusque là, tout baigne. Mais c'était sans compter avec le conducteur de la voiture, vitre de sa portière baissée, qui m'a lâché un "PD !" en passant.
Un peu surpris, au milieu de la rue, je me suis retourné vers la voiture qui continuait sa route et j'ai lancé "Toi aussi !" à ce conducteur que je n'avais pas vu dans la nuit peu éclairée de cette rue des pentes.
La rue n'était pas déserte, puisque trois personnes s'activaient à mettre en place une devanture de pizzéria. L'un d'eux me regardant, nous avons échangé un bref "Bonsoir !" de bon aloi pour des personnes civilisées.

Là, maintenant, je regrette d'avoir été aussi impoli avec cet homme qui me saluait d'une manière aussi classe de grand connaisseur. J'aurais dû être reconnaissant et dire plutôt "Merci ! Toi aussi !".

jeudi 9 janvier 2014

Couleurs vivantes

L'hibiscus fleurit abondamment depuis fin février, installé au chaud dans le salon. Il se pare de belles fleurs orange, garnies de pétales plus ou moins fripés.


Deux types de fleurs sont présents :les fleurs très chargées dont on ne voit même plus le cœur tant les pétales sont touffus, et les fleurs moins chargées qui permettent de se perdre dans un rose délicat qui nappe le centre.


Le philodendron clair de lune (moonlight) n'est pas en reste et propose sa belle fleur sous forme de spathe rouge enveloppant un grand pistil blanc qui se se perlera de minuscules gouttes rouges le lendemain. La fleur ne dure que deux jours puis se ferme définitivement. Pas d'odeur discernable.


Le kalanchoé a aussi commencé à fleurir, mais très timidement.

mercredi 8 janvier 2014

Transparence

C'est vraiment bien l'hiver lorsque les arbres n'ont plus de feuilles, l'horizon s'éclaircit et ce qu'on ne voyait pas est tout à coup dévoilé.
Tiens, par exemple, la piscine de la résidence d'à côté - sur la droite - est toute mignonne avec sa  bâche bleue est son bord rond.
Et tiens ! On voit même de nouvelles fenêtres non encore inventoriées - c'est pour ça qu'elles sont nouvelles, banane ! - .

Le seul inconvénient, c'est que l'hiver, il fait froid et les gens sont habillés, dehors et dedans, chez eux. Alors pour se rincer l’œil ou découvrir de nouveaux paysages, hé bien c'est râpé !
Alors que l'été, pas question de voir les minets se bronzer au bord de la piscine ou sortir de leur douche, tout mouillés. Non pas question, les feuilles dissimulent tout. Rien à voir, juste à imaginer.

C'est pas juste.

Un passager

Je ne prends pratiquement plus ma voiture, sauf pour de longs trajets ou pour la chorale du mardi soir.
Je fais du vélo tous les jours, mais je n'ai pas envie d'en faire de nuit et souvent dans le froid, donc la voiture me va mieux.
Quand je rentre de la chorale, il m'est arrivé d'embarquer quelqu'un pour l'avancer un peu.
Ce fut deux fois un choriste, jusqu'au tram puis jusqu'au métro. Depuis, il a trouvé bien mieux pour rentrer chez lui.
Une autre fois, ce fut trois jeunes rugbyman, dont un s'était fait mal et claudiquait sur un pied, soutenu par deux autres camarades. Des garçons sympas et très polis qui avaient peur de me déranger. Là aussi, ce fut un petit trajet jusqu'au tram, soit une trentaine de secondes...
La dernière fois, ce fut un quidam qui attendait son bus. Sur mon trajet de retour, une nuit j'avais remarqué quelqu'un debout contre un mur d'immeuble, près du feu où j'attendais, et comme c'était un homme j'avais écarté l'idée de prostitution - chose très répandue qui apparait là où on ne l'attend pas -. Des passages et arrêts ultérieurs m'ont permis de voir qu'il s'agit là d'un arrêt de bus. Jamais vu ce bus. Du coup, lorsque je me suis de nouveau arrêté au feu et qu'une personne attendait, je lui ai fait signe et proposé de l'emmener. C'était un jeune qui rentrait chez lui après une soirée chez son frère pour regarder un match de foot.
Le déposer devant chez lui a rallongé à peine mon trajet. Il était très content et trouvait que ce que je faisais, le transporter, était exceptionnel. Pour moi, c'est plutôt banal et j'étais bien content d'avoir un compagnon de route.

Hier soir, personne dans la nuit noire.

Sinon, je chante à l'auditorium de Lyon dimanche. Pas sur scène. Dans le Requiem de Fauré, ce sera le Libera Me. Je pense que ça va être intéressant.

mardi 7 janvier 2014

Suivi de près

En relisant cet article de Korben, enfin je crois, j'ai pu vérifier combien Google me suivait à la trace depuis que j'avais un téléphone tournant sous Androïde, le système d'exploitation de Google.
Très certainement, j'avais dû cocher ou laissé coché une autorisation pour que mes géolocalisations soient mémorisée.
Je suis donc allé voir hier ce que cela donnait et je ne fut pas déçu.
Globalement, j'ai retrouvé bien des trajets, comme par exemple les allers-retours au boulot, les excursions.
Parfois, je me suis retrouvé dans des lieux que je sais n'avoir jamais fréquenté comme un parc à environ un kilomètre en ligne droite mais situé sur une hauteur visible de chez moi, et mon séjour chez M² dans la Bresse n'apparaissait pas.

Bon, je n'aime cette idée d'être tracé, d'autant que GG indique que l'historique n'est pas visible de toutes les personnes, omettant donc de dire qu'il n'est visible que par vous seul, car "pas de toutes" ne veut pas de dire de certaines comme la NSA - qui ne demande pas votre avis pour vous suivre - .
J'ai donc désactivé le suivi et effacé l'historique. Ça, c'est juste pour dire que je veux maîtriser la chose, mais je me doute bien que ça ne change rien au principe, c'est juste que je ne verrai plus mes déplacements alors que "pas de toutes" pourront le voir.

S'il faut resté caché pour vivre heureux, il vaut mieux ne pas prendre sont téléphone portable.

lundi 6 janvier 2014

Le petit nouveau

Voilà, Kevin est arrivé dans le bureau. A qui s'attendre avec un tel prénom ? Certainement pas à ce qui a passé la non-porte du bureau : un jeune indien ! Bazané, les traits fins, de taille moyenne, figure avenante.
Lorsque le client est venu nous le présenter et l'installer dans notre bureau, il s'est esclaffé - le client - "ah mais ! vous n'avez pas déménagé !". Bin justement non, on ne va pas déménager pour se mettre dans un coin de la pièce et changer nos pauvres habitudes de placement.
Du coup il s'est mis en face de moi, ce qui n'est pas la meilleure place quand le soleil pointe le bout d'un rayon aujourd'hui, car la ficelle du store est à côté de moi.
Quelques instants plus tard, un autre invité, qui passe une semaine sur deux avec nous, est venu poser ses miches devant une place libre, place qu'il occupe d'habitude quand il vient.

Comme dirait l'autre : non domo dominus sed domino domus !

22 rue Sergent Blandan, Lyon 4eme (ici)

Il ne reste plus qu'à le bizuter, je me demande ce qu'on va pouvoir faire avec les poils visibles sous le cou.

Début de semaine

En fait, la semaine a commencé hier puisque le dimanche en est le premier jour. Mais qui s'en soucie aujourd'hui puisque la norme anglaise est de mise avec le week end - parce que le dimanche est aussi le premier jour aux US - ?
Cette semaine ne devrait pas être trop chargée. Chorale mardi soir, et c'est tout ! Ce qui ne sera pas le cas de la suivante où je n'aurai qu'un soir à glander devant la télé.
Bien sûr, ce qui fait le cœur d'une semaine, c'est le boulot. Les vacances terminées, on va retrouver les collègues absents et surtout les autres dans les rues à collectionner des bouchons.

Le petit-dej est pris, le billet écrit, je vais filer à la douche, sèche-cheveux - de l'air chaud sur tout le corps est assez plaisant -, habillage -chemise ou polo -, puis brossage des dents. Mon vélo, qui dort dans sa chambre, va se retrouver sur le palier, prêt à prendre l'ascenseur. Je vais aussi devoir m'encapuchonner et me ganter.

Ça crame !
Ce matin, l'air est d'une grande limpidité, voilà longtemps que je n'avais vu le Mont Blanc avec autant de détails. Le ciel crame joliment.


Le Mont-Blanc, à 150 km

dimanche 5 janvier 2014

Noël 2103

Ce dernier Noël fut une bonne occasion de se retrouver en famille.
Tous les enfants étaient là, sauf Alex - le chum de T² - qui venait de faire piquer sa chienne en fin de vie.
Nous avons attendu les derniers, ceux qui logent à l'étage du dessus, pour ouvrir les cadeaux placés au pied de l'arbre - fait cette par T², ainsi que le décoration -. Les petits-enfants étant très intéressés par tout ce qu'ils découvraient, surtout les papiers.
J'ai eu un gros bouquin sur Lyon, que je n'ai même pas encore ouvert, un bonnet que je n'ai mis qu'une fois car il est très chaud et sûrement des nougats.
Contrairement à l'an dernier, le soleil était caché sous un épais tapis de nuages, ce qui nous a permis de garder les volets ouverts.
A chaque bout de la table on avait placé un siège pour enfant, utilisés en fait avant que tout le monde passe à table.
J'étais de bonne humeur, bien que la présence de S² me tape sur le système, enfin surtout quand il raconte de son air décontracté de je-sais-tout sa misérable vie.
Faisant suite au dimanche précédent, Yumi m'a souvent tendu les bras pour que je la prenne, m'a fait des câlins, des sourires. Noé était encore plus dans sa phase inaccessible, refusant la plupart des contacts avec les autres. Anthony est toujours charmeur et très amusant quand il répète de lui-même ce qu'on dit.

Les enfants ont grandi. Ils ont quand même eu des cadeaux. J'ai plaisir à les voir évoluer, prendre des décisions, oser des projets et les réaliser, les voir rire de bon cœur comme quand ils étaient gamins.

Le repas était copieux et fin : foie gras, saumon fumé, légumes et filet mignon, bûche au beurre et glace "lina", clairette de Die - le bouchon est encore allé chez les voisins...-.

Quand tous furent partis, il ne restait que la table à ranger et redonner un coup de balai.

Noël 2013 reste un bon moment familial.

Comme un bruit

Ce samedi fut une journée pyjama. Des bruits totalement incongrus rendaient compte d'une certaine bataille intestinale. Paradoxalement, aucune sortie ne s'est produite malgré quelques alertes.
J'ai essayé de faire une sieste, mais en vain. Les pâtes en soupe du soir sont heureusement bien passées et ont constitué le seul repas de cette journée à la traîne.
Le premier orage de l'année m'a forcé à boucher les oreilles pour passer une longue nuit bien réparatrice.
Ce matin, il fait beau, je suis encore en pyj, mais je vais aller prendre ma douche et m'habiller.
La forme est revenue (...)

samedi 4 janvier 2014

Bientôt quatre

Une des plus belles nouveautés de ces deux dernières années a été l'arrivée des petits-enfants dans la famille.
A la question "qu'est-ce que ça fait d'être grand-père ?" je répondrais que ça renforce la fierté d'être père. C'est certain pour moi, c'est une réalisation qui me projette dans l'avenir intemporel, au-delà de ma propre existence.

Mais ces petits gamins restent à apprivoiser, et c'est pour cela que je les aborde avec prudence et retenue. Lorsqu'on s'habitue les uns aux autres, on peut se permettre d'approfondir la relation et établir un lien privilégier.

Chaque enfant est différent mais j'ai adopté la même tactique avec tous : présence discrète et câlins mesurés. Mais il n'y avait pas que les enfants à apprivoiser, je devais aussi me laisser apprivoiser. Je reconnais que j'ai toujours du mal avec l'apparence des petits bébés mais tout va mieux maintenant qu'ils sont plus grands.

Nous avons passé pas mal de temps à regarder passer les voitures dans la rue, l'enfant dans mes bras à écouter mes commentaires sur les véhicules et les couleurs. C'est très reposant pour tous et l'enfant en redemande. Aujourd'hui, les deux plus âgés savent m'appeler "pépé" et la dernière me colle de près et me tend les bras pour que je la prenne.

Je ne sais pas ce que nous réserve la suite, car tout ce qui est fait peut être défait et ma capacité affective est des plus réduite, mais je suis optimiste.

Le quatrième rejeton va arriver dans pas très longtemps, juste vers mon anniversaire. Je ne serai plus le seul au mois de mars...

vendredi 3 janvier 2014

Dans le rayon

Juste avant Noël, il faut bien se résoudre à faire des achats de ... Noël !
Nous voilà donc chez Boulanger - ma femme et moi - je n'aime pas cette enseigne mais c'est plus difficile de ne pas y aller depuis qu'elle a racheté Planet Saturn, quel malheur ! - pour acheter un aspirateur.
Vraiment très peu de monde dans ce grand magasin et nous trouvons facilement ce que nous cherchons. Dans le rayon d'en face, un jeune gars fait les cent pas, attendant le client. Un joli callipyge que mon œil a de suite apprécié. Une belle stature et un petit coup de main décontracté qui gratte négligemment le bout de son devant de pantalon, tout en discutant avec un de ses collègues.
Je ne rate bien sûr rien du spectacle et il devient difficile de lire les étiquettes et notices des appareils. Manque de bol, c'est le petit moche qui vient nous renseigner et pas le grand mignon, qui de loin me lance un sourire et me dit bonjour. Oups !

En quittant le rayon, un gros paquet à la main, je passe devant le beau gars, d'une vingtaine d'année, fait mine de m'intéresser à la moquette tout en réfléchissant à ce que je vais lui dire. Car je dois lui dire quelque chose et ce fut, en le regardant dans les yeux :
"Ne le prenez pas mal, mais vous êtes très sexy."
En retour, il fit un très grand sourire de sa bouche gourmande, partit d'un grand rire et me dit "merci !".
Ne pouvant pas poursuivre, je l'ai laissé dans son rayon, et arrivé à la caisse, lorsque nos regards se sont de nouveau rencontrés, il souriait encore. Moi aussi.

Du nouveau

Bien, bien.
L'année 2014 a démarré. Sur les chapeaux de roue. Ce sera l'année d'un double chiffre révolu.
Autant il faisait beau le premier, autant je me suis fait rincer le deux lorsque je vélotais vers le boulot au petit matin. Et comme je n'avais pas mis le pantalon de pluie, j'avais les cuisses et le bas du dos mouillés. J'adore.

Prochains thèmes abordés, en vrac :
- le lugdu
- l'aspirateur
- la circulation
- les petits nenfants
- les amis
- la stratégie Dec
- la stratégie GG
- le dimanche après-midi
- les nenfants
- la sortie du placard
-  les collègues au boulot
- wiki
- la chorale
- le téléfon

Il fait encore nuit, j'ai les yeux embués, j'ai avalé mon café et je regarde les infos à la télé tout en tapotant. Il pleut encore ce matin, je serai plus protégé tout à l'heure.
Le zinzin vient de faire zup zup, c'est certainement Stéphane qui phantasme dur sur moi. C'est ça.
Pas de roller ce soir, je n'aime pas le froid. Par contre, il faudrait qu'on se fasse le nouveau tunnel de Lyon avec JE. A voir.

Le jour n'est pas levé, quelle débile idée, je ne suis plus en train de rêver, enfin la réalité.